Après la publication en 2017 de la note « Immobilier et bâtiment : cinq questions de prospective sur valeur et économie », la note « Design économique : agir sur la fabrique économique des projets immobiliers et urbains pour les rendre plus vertueux » analyse la manière de développer un immobilier à la fois plus vertueux et optimisé, face à l’inévitable montée des coûts (matériaux, main-d’œuvre, énergies) dus à la transition énergétique. Ce travail a été piloté par Alice Fournier et Etienne Riot.

Concernant les questions de mobilité, la note « La ville, ça marche ? Le marcheur urbain face aux acteurs de la ville » trace une brève histoire de la marche en ville et ouvre des pistes de réflexion pour développer la « marchabilité des villes » ; cultiver la relation vertueuse qui semble lier marche, espaces urbains et chronotopie de la ville ; enfin, interpeller la commande publique et privée sur la fabrication des trajets urbains. Ce travail a été piloté par Bernard Roth, Pauline Detavernier et Sarah Wertheimer.

Sur les sujets liés au bas carbone, le groupe avait déjà publié, en 2015, la note « Vers des bâtiments bas carbone ». Celle-ci a tracé la voie vers une bascule de la construction et de la rénovation vers le bas carbone. Elle a été à l’origine des travaux du label BBCA, de l’expérimentation E+C- qui ont conduit à la RE 2020. La récente note « Vers une sobriété immobilière et solidaire. Les voies d’une meilleure utilisation du parc de bâtiment » décrit neuf types d’actions permettant de développer une sobriété immobilière qui soit aussi solidaire avec des déclinaisons dans six types de territoires différents. Ce travail a été piloté par Jean Christophe Visier et Albane Gaspard.

L’ensemble des contributions reçues, ainsi que la version finale de la note enrichie de ces contributions, sont disponibles ici.

Plan Bâtiment Durable : le groupe RBR-T explore les futurs de l'immobilier et des territoires