Frey ambitionne de « devenir le leader européen du commerce de plein air ».

Représentant 40 % de la dette du groupe, ce refinancement est in fine et d’une durée de cinq ans (avec une extension possible pour deux années supplémentaires). Il permet d’allonger la maturité de la dette qui est dorénavant supérieure à quatre ans. La société n’a plus d’échéances de dettes significatives avant 2027, échéance d’ores et déjà couverte avec les liquidités existantes.

Par ailleurs, ces financements permettent à Frey de disposer de 120 millions d’euros de nouvelles lignes de crédit non tirées pouvant être, à tout moment, mobilisées pour sa politique d’acquisition. Ce refinancement porte ses liquidités disponibles (trésorerie et lignes non-tirées) à plus de 280 millions d’euros.

A l’occasion de cette opération « majeure », Frey était accompagné par ses banques partenaires, ainsi que par de nouveaux préteurs [Crédit Mutuel Arkéa, Banque Postale, Banque Européenne du Crédit Mutuel (BECM), BNP Paribas, Groupe BPCE, Crédit Agricole Corporate Investment Bank (Cacib), Crédit Agricole Ile-de-France (Cadif), CIC Est, LCL, Natixis, Société Générale].

Le conseil juridique de Frey dans cette opération est le cabinet De Pardieu Brocas Maffei.
« Frey a souhaité intégrer trois indicateurs de performance ESG dans ces financements : certifications environnementales de ses immeubles, mobilité et émission de GES. Le groupe maintient ainsi un ratio de 100 % de financements bancaires intégrant des critères ESG ».

Frey : 400 millions d’euros de nouveaux financements